Le nombre des fusions-acquisitions a chuté drastiquement en 2023. Avec la hausse des taux d’intérêt, l’inflation, les inquiétudes sur la croissance à moyen terme et l’instabilité géopolitique, les M&A ont aussi fait l’objet de négociations plus ardues. Les acheteurs qui sont restés sur le marché prennent plus leur temps, d’où des due diligences plus longues, se penchant davantage sur la performance intrinsèque des cibles d’acquisition. À cela s’ajoute l’importance croissante des critères ESG.

 

Entretien à retrouver en intégralité dans sur le site du nouvel Economiste.