De plus en plus de professionnels et d’experts de la compliance plaident en faveur du développement d’une « compliance augmentée » intégrant, pour sa mise en œuvre, les nouvelles technologies dont l’IA. Mais est-ce sans risques ?
En France, la loi Sapin II a popularisé la notion de compliance en créant une obligation de vigilance contre les risques de corruption pour les grandes entreprises. Les sociétés de plus de 500 salariés et réalisant un chiffre d’affaires d’au moins 100 millions d’euros doivent adopter certaines mesures destinées à mettre en œuvre cette obligation : élaboration d’un code de conduite, d’une cartographie des risques, etc. Mais la compliance s’étend bien au-delà de cette seule obligation.
Entretien à retrouver dans son intégralité sur le site de Incyber.